Aubrac (2022)

1200 m d’altitude. Calme et silence. Les hauts plateaux de l’Aubrac, à perte de vue.
Le chemin conduit à Nasbinals, là-bas, derrière… Aussi loin que se porte le regard, aucun village, aucun clocher.
Seul l’espace, le vide et les nuages. Sur « ces hauts plateaux déployés où la pesanteur semble se réduire comme sur une mer de la lune, nous dit Julien Gracq qui maintes fois les a traversés, « se mêlent indissolublement sentiment d’altitude et sentiment d’élévation ».